Le locavorisme.
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Le locavorisme.
Esquisse d'embryon d'ébauche sans mise en forme.
Absolument rien de vérifié, juste quelques lignes basées sur des impressions et des vagues souvenirs.
"Conclusion" pour le moment: gros doutes. Peut-être valable dans certains cas.
La vie en rose.
Un des (nouveaux?) principes de l'écologie est de consommer davantage ce qui est produit près de soi. Ou de produire près ce que l'on consomme, ce qui est a prori différent car supposant non pas un changement des habitudes de consommation mais plutôt un déplacement des moyens de production ou de transformation.
L'avantage premier étant (?) une économie de transport, donc supposément sur le prix, sur les pollutions (CO₂, gaz et particules nocifs pour la santé, etc), ou sur les ressources.
La vie en moins rose.
Mais des objections apparaissent, instantannément pour certaines, et semblent éventuellement sérieuses.
Exemples:
-Certaines conditions locales (terrain, ensoleillement...) peuvent faire que les patates poussent comme des champignons à 5 000 km d'ici, et que le travail et les intrants nécessaires pour les faire pousser à en endroit plus proche mais où il elles se développent mal soit plus coûteux écologiquement à la fin.
-Le transport ne se compte pas forcément de la façon que l'on croirait. Le transport maritime de port à port ou par train seraient (???) assez peu coûteux, et c'est ce qu'on appelle je crois "le dernier kilomètre" qui est la principale question à ce niveau.
Entre transporter 500 tonnes par bateau/train sur 2 000 km + 100 km par route et par route uniquement 300 km, le quel est le plus écologique?
-Une tradition ou une spécialisation professionnelles peuvent exister à 5 000 km , qui n'existent pas ou peu ici, et les développer pourrait être plus coûteux écologiquement que le transport.
De même pour des usines ou des outillages à construire.
-Autres.
Les liens pour et contre le locavorisme existant forcément sur internet sont à fouiller.
Absolument rien de vérifié, juste quelques lignes basées sur des impressions et des vagues souvenirs.
"Conclusion" pour le moment: gros doutes. Peut-être valable dans certains cas.
La vie en rose.
Un des (nouveaux?) principes de l'écologie est de consommer davantage ce qui est produit près de soi. Ou de produire près ce que l'on consomme, ce qui est a prori différent car supposant non pas un changement des habitudes de consommation mais plutôt un déplacement des moyens de production ou de transformation.
L'avantage premier étant (?) une économie de transport, donc supposément sur le prix, sur les pollutions (CO₂, gaz et particules nocifs pour la santé, etc), ou sur les ressources.
La vie en moins rose.
Mais des objections apparaissent, instantannément pour certaines, et semblent éventuellement sérieuses.
Exemples:
-Certaines conditions locales (terrain, ensoleillement...) peuvent faire que les patates poussent comme des champignons à 5 000 km d'ici, et que le travail et les intrants nécessaires pour les faire pousser à en endroit plus proche mais où il elles se développent mal soit plus coûteux écologiquement à la fin.
-Le transport ne se compte pas forcément de la façon que l'on croirait. Le transport maritime de port à port ou par train seraient (???) assez peu coûteux, et c'est ce qu'on appelle je crois "le dernier kilomètre" qui est la principale question à ce niveau.
Entre transporter 500 tonnes par bateau/train sur 2 000 km + 100 km par route et par route uniquement 300 km, le quel est le plus écologique?
-Une tradition ou une spécialisation professionnelles peuvent exister à 5 000 km , qui n'existent pas ou peu ici, et les développer pourrait être plus coûteux écologiquement que le transport.
De même pour des usines ou des outillages à construire.
-Autres.
Les liens pour et contre le locavorisme existant forcément sur internet sont à fouiller.
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